Lorsque vous vous trouvez seul (souvent maman seule parce qu’une famille sur cinq est monoparentale ), l’une des premières urgences est d’organiser la nouvelle vie quotidienne de la famille séparée. La question du logement se pose très rapidement.
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Que faisons-nous : qui garde la résidence principale ? Qui reste ? Qui bouge ? Pour aller où ? Pour ceux qui partent, selon leurs moyens financiers, ils ont la possibilité d’acheter ou de louer.
Et qu’est-ce qui est possible de louer avec le budget d’un seul revenu sachant que les locataires demandent au moins trois fois le loyer ?
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La contrainte de déménager lorsqu’un parent célibataire est d’avoir très peu de temps pour s’en occuper, de moins de ressources financières pour payer le loyer et des coûts importants associés à ce changement de résidence (honoraires d’agence, dépôt).
Se trouver seul élever un ou plusieurs enfants avec moins d’argent et avoir à déménager rapidement est une source de stress et d’anxiété .
Il n’est pas facile de faire face à la fatigue émotionnelle causée par une séparation, aux réactions suite à l’annonce aux enfants de divorce ou de rupture, aux jugements des autres, à une nouvelle logistique à organiser, aux choix personnels à faire sur sa situation professionnelle, à un nouvel équilibre à construire. Dans le même temps, il est nécessaire de trier les cas, de les diviser entre les ex-conjoints. Préparez les boîtes. Gérez tous les documents liés au déménagement. Peut-être acheter des affaires en double pour les enfants.
Dans le cas de la garde partagée, il est préférable, pour des raisons pratiques, que les parents soient proches géographiquement . Les enfants peuvent rester dans la même école, garder leurs amis, vivre dans le même cadre qu’auparavant.
Mais ce choix de logement a un prix. Je me souviens d’avoir un salaire au lieu de deux, j’avais très peur d’avoir beaucoup de difficulté à trouver une maison. Je pensais qu’un banquier serait à peine prêter à une mère célibataire , et qu’un propriétaire serait aussi méfiant d’une femme célibataire.
Le regard de l’entreprise sur une maman séparée n’est pas toujours positif et bienveillant. La mère solo est souvent perçue comme une source de problèmes : difficulté à trouver ou à garder un emploi en raison de l’impossibilité de voir ses enfants assister à un entretien d’emploi, s’ils sont malades, s’il y a une réunion urgente en fin de soirée dans l’entreprise, des difficultés à recevoir régulièrement une pension alimentaire.
A l’époque, je vivais dans la région parisienne où la situation immobilière est tendue dans les villes. Pour toute annonce de location dans une ville proche des transports en commun ; il y a plusieurs dossiers locataires.
Je voulais absolument vivre dans un appartement avec une chambre pour chaque enfant. Et avec de tels souhaits, j’étais en concurrence directe avec les familles de parents avec 2 enfants.
Avec le handicap d’avoir un dossier moins fiable aux yeux d’une agence ou d’un propriétaire particulier que le leur. Parce qu’une famille (en particulier avec les deux revenus de deux conjoints), il rassure toujours plus qu’une mère célibataire susceptible d’avoir des difficultés financières et de ne plus être en mesure de payer le loyer.
Parlant avec d’autres parents séparés, dont un ami à Toulouse, je me suis rendu compte qu’une solution de plus en plus commune à ce puzzle est l’hébergement partagé (ou location pour plusieurs) offert par un site spécialisé.
En effet, cela permet :
- pour gagner de temps en se connectant directement à Internet pour entrer en contact avec d’autres colocataires sur des critères spécifiques . Ces personnes cherchent également à trouver une location (location de chambre dans un appartement ou une maison) ou ont déjà un colocataire à offrir. La chambre peut être déjà meublée Cela évite de nombreux appels fastidieux à des agences immobilières ou des particuliers.
- de diviser le loyer proportionnellement au nombre de chambres à louer et d’encourager ainsi la recherche d’un nouveau lieu de vie avec une meilleure lieu que de vivre seul.
- de ne pas souffrir de l’hostilité et du rejet d’un propriétaire puisqu’il approuve le concept de co-implantation.
- pour bénéficier d’un espace de vie plus grand et bien meilleur que seul.
- pour construire une relation de confiance, une amitié avec des colocataires. Les colocataires peuvent être des étudiants, des personnes âgées, des jeunes actifs, des veuves ou des personnes se trouvant dans la même situation de parent seul. Louer à beaucoup est un moyen de ne pas vivre seul, de faire de nouvelles connaissances, ce qui est bon quand vous êtes célibataire et quelques amis après la rupture nous ont abandonnés. Grâce à la colocation, le sentiment de solitude est réduit.
- échanger des enfants pour pouvoir sortir la nuit ou le week-end sans avoir à payer pour une baby-sitter.
- pour faire de petits services tels que dépanner les produits manquants (œufs, farine que vous avez plus de sorte que vous devez faire un gâteau…), vous prêter affaires, bricolage, jardinage, cuisine pour les autres.
- outre, en louant une chambre dans un colocataire, pour les femmes il y a un côté sûr En : la peur du cambriolage, l’intrusion est moins forte. Pour toutes ces raisons, considérer un colocataire est une solution pratique et économique qui recrée un lien social.
Il peut s’agir du début d’un nouveau mode de vie tribal à long terme ou d’une situation temporaire en attendant de s’engager dans une vie de deux personnes ou un achat immobilier.
Que cette situation soit durable ou non, il ne fait aucun doute que ce sera une grande expérience de vie .
Dites-moi dans les commentaires si vous avez déjà fait un colocataire ? Ça t’a plu ? Ça t’a donné envie de recommencer ?
Il est certain que partager son lieu de vie avec un autre parent seul peut être une nouvelle forme de famille d’olidarité.