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Comment se préparer pour une compétition sportive ?

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Vous avez prévu un grand match ? Une course ? Un événement sportif que vous planifiez depuis des mois et que vous vous posez des centaines de questions à l’approche de la date limite ?Voici les pièges du Top 10 à éviter avant une compétition avec la collaboration de Jordan Rouyer, directeur sportif de Metz Triathlon, premier club d’entraînement de France et vice-champion d’Europe en 2018.

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1. Changer vos habitudes

Ne changez rien la veille ou la semaine précédant votre date limite. Ce serait une erreur de tester une nouveauté que ce soit de la nourriture ou dans votre formation, sous prétexte qu’un ami vous a dit que pour lui cela fonctionne. Chaque corps est différent et réagit différemment. Donc, si vous êtes habitué au petit déjeuner avec du pain grillé de confiture, continuez !

2. Bivré avec des féculents la veille

Oui, vous devez manger des sucres lents qui vont émettre de l’énergie à vos muscles, mais vous n’avez pas besoin de manger plus que d’habitude. Ça pourrait créer des ballonnements pour vous. Et, si possible, optez pour les féculents à faible indice glycérique (riz, pâtes entières) pour une diffusion plus lente et progressive de l’énergie…

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3. Faire une grosse sieste la veille

La sieste est bonne, mais 20 minutes maximum. Sinon, nous allons dans un cycle de sommeil et c’est très mauvais pour le corps. Une étude de l’INSEP l’a prouvé* : après une heure de sieste, le corps doit se reposer 24 heures sans activité ou avec une activité de faible intensité. Sone, il ne serait plus apte à une compétition… physiologiquement, le corps n’a besoin que de 20 minutes de sieste. Même pour la nuit, n’essayez pas de rattraper les heures de sommeil à la veille de la course. Au fait, la nuit la plus importante est la veille…

4. Bannir l’alcool de votre préparation

L’ abus d’alcool est mauvais pour votre santé, mais si vous êtes habitué à boire une bière pour étancher votre soif, ne l’enlevez pas sous prétexte que la date limite arrive. Cependant, évitez le vin blanc et les spiritueux forts. « Dans le peloton, il semble que le vin blanc reste dans les jambes… C’est une vieille croyance cycliste !

 » 5. Panique parce que vous stressez

Stress, tu en as besoin ! Par définition, c’est le niveau optimal d’activation du corps. Le sentiment de peur avant la compétition est normal. Le contraire serait anormal. C’est pourquoi vous devez garder votre routine, ne voulez pas absolument rester les jambes dans l’air à la maison. Si votre femme vous propose de visiter la ville la veille d’un marathon, acceptez d’y aller en négociant pour marcher et prendre le bus…

N’ oubliez jamais que c’est le chemin qui mène au résultat qui compte. Si le chemin, donc la préparation, était bon, le résultat sera bon !N’ayez pas peur du résultat ! Vous oubliez souvent que vous avez le droit de manquer un match, un course, une finale… vous devez savoir comment accepter l’échec !

6. Ajoutez des séances d’entraînement la semaine précédente

Vous avez dû sauter les entraînements pendant votre préparation et cela vous fait douter de votre forme. Quoi qu’il en soit, il est trop tard ! Pas besoin de rattraper le temps perdu. Faites-vous confiance ! Ne testez pas une nouveauté la veille, vous pourriez être blessé. Au mieux, faites quelques accélérations, ça vous rassurera.

7. Buvez moins peur de l’envie d’uriner pendant l’AVC

Ne vous arrêtez pas, ou même diminuez votre hydratation la veille de votre course. « J’ai fait moi-même un traitement Mate devant un Ironman et si c’est censé améliorer la réactivité et les capacités, ça m’a au moins forcé à boire bien avant. » Parce que les toxines des muscles sont éliminées dans l’urine alors ne vous inquiétez pas d’aller aux toilettes, c’est bon. signe !

8. Lève-toi à 3 heures du matin pour digérer le petit déjeuner

Bien sûr, vous devriez donner à l’estomac le temps de digérer parce que si vous mangez trop tard, votre estomac sera toujours en action et aura besoin de sang, donc il y aura moins de sang disponible pour vos muscles. Mais au lieu de se lever à 3 heures du matin, donnez la préférence aux petites collations qui sont bien digérées. « Avec nos jeunes, avant les championnats de France, nous avons tendance à les emmener marcher ou courir entre 15 et 30 minutes avant le petit déjeuner afin que leur corps soit prêt et capable de prendre le petit déjeuner. Car assimiler la nourriture dès le moment de la montée est une agression sur le corps. »

9. Attendez le dernier moment pour préparer votre entreprise

Afin d’être calme et serein avant d’aller au lit, préparez vos affaires la veille. « En Italie, lors de mon premier Ironman, je me suis amusé à jouer avec les roues de mes camarades de club. J’ai réalisé que mes roues ne fonctionnaient pas bien. J’ai donc été prêté des roues. Il faut du stress pour avoir le dossard accroché, le vélo prêt… »

10. Bannir la viande

Vous avez peur de la viande mal digérer donc vous préférez l’enlever de votre alimentation la semaine avant votre course ? Évitez les plats dans sauce est une bonne idée. Mais la viande blanche est fortement recommandée. En règle générale, la viande rouge peut être consommée une fois à deux fois par semaine.Ne changez pas vos habitudes !

* INSEP, « Les rythmes de la vie des athlètes de haute performance : le défi de la performance face à la contrainte de temps », avril 2016.

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